Moïse?

 

 

Le Moïse décrit dans la bible a-t-il réellement existé ?

La bible, nous relate bien des faits qu'aucun chercheur n'a à ce jour pu mettre en évidence par des découvertes scientifiques ou archéologiques, prenons le cas de  l'histoire de Moïse. nous savons aujourd'hui qu'il a existé en Mésopotamie un roi ( Sargon D'Akkad) qui dit ceci"ma mère, la grande prêtresse, me conçut et me mit au monde en secret. Elle me déposa dans une corbeille de jonc dont elle ferma l'ouverture avec du bitume.Elle me jeta dans le fleuve, sans que j'en puisse sortir.Le fleuve me porta , il m'emporta chez AQQI,le puiseur d'eau,m'adopta comme son fils et m'éleva.Alors que j'étais ainsi jardinier , la déesse Ishtar se prit d'amour pour moi, et c'est ainsi que pendant 56ans j'ai exercé la royauté", étrange ressemblance avec le début de la vie de moïse!

Moïse selon la tradition sémitique était membre d'une famille royale égyptienne, alors comment expliquer que les documents égyptiens n'en font aucune allusion, nous savons que l'egypte , malgré les différents destructions (incendie de la bibliothèque d'Alexandrie  lieu du savoir Africain ) liés aux occupations des envahisseurs , est la grande métropôle noire qui a fourni le plus grand nombre de documents écrits.

Destruction de la Bibliothèque d'Alexandrie

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Or, nous avons vu que la tradition sémitique affirme que notre véritable Moïse était lui-aussi un membre de la famille royale égyptienne. Nous avons toujours trouvé étrange le fait que Moïse, un prince égyptien, reste un parfait inconnu dans son propre pays, lequel notait les moindres faits et gestes de la famille royale. En effet, Platon (Critias) parlant de l'Atlantide nous dit ceci de la rencontre de Solon d'Athènes avec les prêtres égyptiens : " Alors, un des prêtres qui était très vieux lui dit : Ah ! Solon, Solon, vous autres grecs, vous êtes toujours des enfants et il n'y a point de vieillards en Grèce. Que veux-tu dire par là ? demanda Solon.
Vous êtes tous jeunes d'esprit, répondit le prêtre ; car vous n'avez dans l'esprit aucune opinion ancienne fondée sur une vieille tradition et aucune science blanchie par le temps… Aussi, tout ce qui s'est fait de beau, de grand ou de remarquable sous tout autre rapport, soit chez vous, soit ici, soit dans tout autre pays dont nous ayons entendu parler, tout cela se trouve ici consigné par écrit dans nos temples depuis un temps immémorial et s'est ainsi conservé ". Nous savons qu'en 48 av. J.C, les romains incendièrent la bibliothèque d'Alexandrie, afin de faire disparaître le savoir africain. En l'an 296, l'empereur romain Dioclétien fait brûler à nouveau la bibliothèque d'Alexandrie qui avait été reconstruite. Plus tard, en l'an 490 les Barbares (ancêtres des Berbères), brûlèrent la bibliothèque d'Alexandrie qui avait été à nouveau reconstruite. Enfin en l'an 641, les arabes brûlèrent la bibliothèque d'Alexandrie sur l'ordre du calife Omar, afin de faire disparaître une fois de plus le savoir africain.
Malgré tous ces incendies, l'Egypte est le pays qui a livré le plus grand nombre de documents écrits, car les anciens égyptiens en faisaient plusieurs copies. Donc, si un fait historique n'est pas mentionné en Egypte, il y a de forte chance qu'il soit une pure légende. Concernant le véritable Moïse, si ce dernier a réellement existé, alors il est impossible que les documents égyptiens n'en parlent. Etant donné qu'une légende, est un récit populaire qui a pour sujet soit des faits ou des êtres imaginaires, soit des faits réels mêlés de merveilleux, il est très difficile de démêler le vrai du faux lorsque l'on veut restituer les faits historiques.
Néanmoins, par delà la légende sémitique contenue dans la Bible, si un prince égyptien du nom de Mose (Moshé en hébreu, Musa en arabe, Moïse en français) a vraiment existé, on doit le retrouver et plus particulièrement dans la 18e ou la 19e dynastie.
Or, en étudiant ces deux dynasties, nous ne trouvons aucun prince du nom de " Mose " signifiant " Engendrer " en égyptien, mais plutôt des noms composés de cette particule.
Pour la 18e dynastie, nous avons plusieurs Thout Mose (Thoutmès, ou Thoutmosis en français). Pour la 19e dynastie, nous avons plusieurs Râ Moses (Ramsès, en français), et un Aman Moses (Amenmesès, en français), que l'égyptologue allemand Rolf Krauss identifie au véritable Moïse, dans un thèse très argumentée, mais non irréfutable (Moïse le pharaon).
Si aucun prince du nom de Moïse n'est connu des égyptologues, alors d'où vient ce nom ? Le chercheur David Icke (Le plus grand secret, Tome 1, éd. Louise Courteau, p.147) nous donne la réponse en disant : "Chaque initié qui avait atteint le plus haut rang dans les écoles de mystères égyptiennes était appelé Muse, Mose ou… Moïse ". Ainsi, Mose alias Moïse n'est pas le nom propre de notre personnage, mais un titre indiquant que celui qui fut instruit dans toute la sagesse des égyptiens, avait bel et bien atteint le plus haut niveau de la connaissance ésotérique " Actes 7 : 22 ".
Les sémites mal informés des coutumes égyptiennes prirent un titre pour un nom, à l'instar du titre " Pharaon " qui apparaît comme un nom propre dans plusieurs passages " Genèse 41 : 46, Exode 6 : 11, 13, 27, 29, Exode 14 : 8, Deutéronome 7 : 8… ". A moins , qu'il faille interpréter cela, comme une volonté manifeste de cacher la véritable identité de ce prince égyptien, afin d'accréditer la légende d'une hypothétique origine hébraïque de ce dernier.
Or, en tenant compte de toutes ces données, nous avons retrouvé le véritable Moïse en la personne du pharaon Amenhotep IV alias Akhenaton.
En effet, par delà les données légendaires de la tradition sémitique au 4e siècle av. J.C, la vie du Moïse biblique correspond point par point dans les grandes lignes aux données égyptologiques concernant le pharaon Akhenaton au 14e siècle av. J.C. Même avec mille ans d'écart, certaines données de cette liste non-exhaustive présentent une concordance telle, qu'il est difficile d'imaginer que c'est uniquement le fruit du hasard.

 

 

 

 

Rappelons qu'en Égypte le polythéisme n'existait pas, puisque tous les Dieux sont partis intégrants de Amon Râ ; en effet, tous les dieux vénérés à Memphis, Hermopolis, et  Héliopolis ( Thèbes) ont une base identique : le culte d'Amon Râ : Dieu unique adoré sous des noms, et des totems différents.

On sait aussi que la circoncision était un rituel obligatoire pour tous les Égyptiens,alors comment expliquer que dans exode 4/25-26, moise fut circoncis par sa femme "et sephora prit une pierre tranchante et coupa le prépuce de son fils et le jeta à ses pieds et dit certes tu m'es un époux de sang! alors, elle dit: époux de sang! à cause de la circoncision" (l'auteur se trompe en citant le fils de moïse à sa place);comment expliquer que moïse ayant vécu à la cour du roi a-t-il pu échappé à la circoncision?

On sait également qu'il n'y a jamais eu d'esclavage en Égypte, mais un exode sous le règne de AKHENATON : qui fut a l'origine du dieu unique ATON qu'il imposa à l'egypte occasionnant une révolte des partisans du culte d'AMON, il s'en suivit une guerre, puis un exode mené par un prêtre du nom d'ORSARSIPH convertit au culte du dieu unique qui semblerait soit à l'origine de la religion des Hébreux.

Nous constatons une très grande similitude entre certains psaumes de la bible et des hymnes à ATON ex: (psaume 104).

Rien ne permet de dire que la culture africaine, négro-égyptienne notamment qui se retrouve disséminée dans le continent encore à ce jour n'est pas le véritable fond spirituel et religieux qui inspire la Bible, le judaïsme ( Le fondateur du judaïsme: le prêtre et sacrificateur judéo-perse Esdras EN 398 av notre ère ) et les religions qui l'ont suivi. Nous avons vu que c'est le culte d'Akh En Aton qui apporte ici la clé de relecture des phénomènes fondateurs de la Bible l'Exode d'un des prêtres de ce culte dont le nom hébreu deviendra plus tard Moïse. Les similitudes dépoussiérées entre traditions, langues, faits supposés propres aux peuples dits juifs avec l'environnement culturel africain ne sont pas les moins probantes ni les plus attendues par des esprits reposés sur une écoute habituelle des interprétations de la Bible.

Comment doit-on interpréter l'existence biblique de Moïse?

Aujourd'hui, nous savons que sous le personnage du Moïse de la tradition sémitique se cache en réalité le pharaon monothéiste Akhenaton, de ce fait, le grand hymne d'ATONA n'est rien d'autre que la véritable Bible de Moïse. Ce texte remarquable gravé en 13 colonnes sur un mur de la tombe d'Ay, est le fruit de la plus extraordinaire révélation du Dieu unique ATONA. C'est cette BIBLE UNIVERSELLE, inspiratrice non seulement du Psaume 104, mais aussi d'un nombre considérable de concepts bibliques que nous vous présentons dans son contexte kamite. Cette traduction est la plus fidèle réalisée à ce jour, car elle est basée sur une vocalisation, sur une sémantique typiquement kamite, et non sur une quelconque convention étrangère. En effet, la tradition orale kamite rapportée par Yoro Diaw ou encore Yoro Dyao (1847 à 1919) nous dit que les populations sénégambiennes (l'Empire Mandingue) sont issues de six migrations entre le Nil et le Sénégal. Ceci est confirmé par cette traduction basée sur les langues kamites et plus spécialement le groupe mandingue qui n'est ni plus ni moins que celle d'Akhenaton. Nous constatons alors que cette langue et cette pensée qui offrent plusieurs degrés de lecture et par conséquent de compréhension ne sont ni sémitiques, ni berbères et encore moins indo-européennes. Que ceux qui prétendent l'inverse ou se disent égyptologues fassent la translittération et la traduction de ce même texte dans un autre groupe de langue, c'est le défi que nous leurs lançons ! D'autre part, soucieux de restituer au mieux la pensée de nos ancêtres, nous demandons à nos frères qui reconnaissent des mots ou des expressions de chez eux de bien vouloir nous les communiquer en indiquant la langue et la ou les significations de ces derniers.

Souvent ces mots dont il faudrait passer toute une vie à étudier, peuvent se rencontrer aussi sous forme de métathèse à l'instar la racine kamite "KoNo" signifiant "Ventre" en bambara, en dioula, etc..., se retrouve sous la forme "NoKo" en soninké avec la même signification.

Nous savons que le véritable Moïse n'est pas le fondateur du judaïsme mais bel et bien le scribe et sacrificateur judéo-perse Esdras en 398 av. J.C. Cependant, si la religion d'Esdras s'est propagée aussi rapidement c'est grâce à la bienveillance et à une conversion probable du roi perse Artaxerxés II (404 à 359 av. J.C).
En effet, la tradition sémitique (Esdras 7 : 21 à 26) nous rapporte le zèle de ce roi pour cette religion : " Moi, le roi Artaxerxès, je donne l'ordre à tous les trésoriers de l'autre côté du fleuve de livrer exactement à Esdras, sacrificateur et scribe, versé dans la loi du Dieu des cieux, tout ce qu'il vous demandera… Et toi, Esdras, selon la sagesse de Dieu que tu possède, établis des juges et des magistrats qui rendent la justice à tout le peuple de l'autre côté du fleuve, à tous ceux qui connaissent les lois de ton Dieu ; et fais-les connaître à ceux qui ne les connaissent pas. Quiconque n'observera pas ponctuellement la loi de ton Dieu et la loi du roi sera condamné à la mort, au bannissement, à une amende, ou à la prison ".
Du reste, Esdras s'inspira certainement de la religion perse, car au 5e siècle av. J.C, le père de l'Histoire, Hérodote d'Halicarnasse (Histoire I : 131) nous apprend qu'à cette époque contrairement aux autres peuples, les perses étaient monothéistes en disant : " Les perses ont, je le sais, les coutumes suivantes : ils n'élèvent aux dieux ni statues, ni temples, ni autels, et traitent d'insensés ceux qui leur en élèvent ; c'est, je pense, qu'ils n'ont jamais attribué de forme humaine à leurs dieux, comme le font les grecs. Ils ont coutume d'offrir des sacrifices à Zeus au sommet des montagnes les plus élevées, ils donnent le nom de Zeus à toute l'étendue de la voûte céleste ".

Le contenu des papyrus araméens d'Eléphantine (483 à 398 av. J.C) ne laisse aucun doute sur le caractère polythéiste des juifs aux 5e siècle av. J.C. Jacques Hassoun (Histoire des juifs du Nil, éd. Minerve, p.16) nous confirme le polythéisme des juifs jusqu'en 398 av. J.C, lorsqu'il dit : " Le dernier document araméen d'Eléphantine, datable de cette époque, est une lettre envoyée de Memphis par un juif nommé Shawâ, fils de Zakaryah, à son ami Yislah : lui souhaitant " le salut de tous les dieux ( !) abondamment en tous temps ", l'auteur de la lettre annonce au destinataire l'avènement du pharaon Néféritès ; nous sommes en 398 av. n.è. (Grelot, n° 105) ". Donc, nous savons avec certitude, que les juifs ne sont devenus monothéistes qu'au contact des perses, et cela au 4e siècle av. J.C.
Quant au bouddhisme, si le prince indien Siddhârta Gautama (560 à 480 av. J.C) fut son fondateur au 6e siècle av. J.C, cependant son propagateur fut l'empereur indien Asoka qui lui donna ses lettres de noblesse en décrétant au 3e siècle av. J.C, le bouddhisme religion officielle dans tout son empire.
Concernant le christianisme, si Jésus le nazaréen (d'ascendance royale selon la légende) est généralement considéré comme étant son fondateur, néanmoins, son propagateur fut l'empereur romain Constantin qui lui donna ses lettres de noblesse en décrétant en l'an 321, le christianisme religion officielle de l'empire romain.
Quant à l'islam, nous savons que son fondateur était d'une famille arabe aristocratique, très influente de la tribu des koraïchites, son nom complet était Mohammed ibn Abdallâh, ibn Abdel Moutalib, ibn Hakim. Cependant celui qui permit la propagation de l'islam alors que les arabes étaient sur le point d'y mettre un terme n'est autre que l'empereur éthiopien Nayasin en 622, lors de l'hégire.
Enfin, la propagation du judaïsme ashkénaze en Europe, n'a été possible que grâce à la conversion du roi khazar, Boulan en 732.
De ces quelques exemples, nous constatons que presque toutes les grandes religions ont pour fondateur et propagateur un membre d'une famille royale (prince, roi, empereur…).

1) Akhenaton était un prince égyptien connu sous le nom d'Amenhotep IV, fils du roi Amenhotep III et de la reine Tiyi.
De même, la tradition sémitique contenue dans la Bible affirme que Moïse était un prince égyptien " Exode 2 : 10 et 19, Actes 7 : 21 ".

2) A l'époque d'Akhenaton, le prince héritier Thoutmosis, premier-né du pharaon Amenhotep III meurt bizarrement.
Idem, à l'époque de Moïse, le premier-né de pharaon, c'est-à-dire le prince héritier meurt tout aussi bizarrement " Exode 12 : 29 ".

3) A l'époque d'Akhenaton, l'éruption volcanique de l'île de Santorin (Théra, alias Atlantide) cause de graves plaies en Egypte.
Pareillement, à l'époque de Moïse, l'Egypte connaît des plaies comparables à celles que produirait une éruption volcanique " Exode 9 : 8 à 11 et Exode 10 : 21 à 23 ".

4) Suite à la mort du prince héritier Thoutmosis, puis de son père Amenhotep III, Akhenaton devient roi d'Egypte, puis législateur, grand-prêtre et prophète de Dieu.
De même, selon la Bible Moïse était roi d'Israël, législateur et prophète de Dieu " Deutéronome 33 : 4 à 5, et Deutéronome 34 : 10 ".
Par ailleurs, le juif Philon d'Alexandrie, affirme que Moïse par l'effet de la providence divine, a été tout à la fois roi, législateur, grand-prêtre et prophète (De vita Mosis, Liv. II, chap. 3).

5) Selon certains égyptologues, Akhenaton prit pour femme une étrangère à la peau claire du nom de Néfertiti, fille d'un prêtre nommé Ay.
Pareillement, Moïse prit pour femme Séphora, qui est non seulement une étrangère à la peau claire, mais également la fille d'un prêtre du nom de Réuel " Exode 2 : 16 à 21 ".

6) Selon certains égyptologues, Néfertiti a été renvoyée par son mari Akhenaton en l'an 14 de son règne, et se voit retirer son titre de " Grande épouse royale ".
De même, la tradition sémitique rapporte que Séphora elle aussi a été renvoyée par son mari Moïse " Exode 18 : 1 et 2 ".

7) Selon certains égyptologues, après le renvoi de Néfertiti, Akhenaton prit pour seconde femme une nubienne (éthiopienne) du nom de Kiya.
Idem, après le renvoi de Séphora, Moïse prit pour seconde femme une éthiopienne (nubienne) dont le nom n'est pas mentionné " Nombres 12 : 1 ".

8) Le pharaon Akhenaton (1367 à 1350 av. J.C) est le premier à rompre avec le polythéisme ancestral en donnant le monothéisme à l'humanité.
Moïse lui aussi est le premier à rompre avec le polythéisme ancestral en donnant le monothéisme à l'humanité " Exode 20 : 2 et 3 ".

9) Le Dieu d'Akhenaton se trouve dans le soleil et se nomme Aton, mais plus vraisemblablement Atona comme nous le verrons plus loin.
Le Dieu de Moïse se trouve également dans le soleil, et malgré le tétragramme Yhwh employé dans la Bible hébraïque, les juifs prononcent ce nom Adonaï " Nombres 25 : 4 ".
Par ailleurs, Joseph Flavius nous apprend que les Esséniens, considérés comme les juifs les plus pieux au 1er siècle considéraient toujours le soleil comme leur Dieu (La guerre des juifs, Liv II, chap. 8, par. 2 à 13).


 

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Plus d'infos :http://www.kamitik.com/mretrouve.htm

référence

pierre nillon :Moïse l'Africain  

Doumbi Fakoly :l'origine négro-africaine des religions dites révélées

la bible

 

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